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Le Temps Des Cerises
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Bagdad mon amour ; Bagdad à ciel ouvert
Salah Al Hamdani
- Le Temps Des Cerises
- Poesie Poche
- 12 Juin 2014
- 9782370710055
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Paradis argousins
Victor Blanc, Franck Delorieux
- Le Temps Des Cerises
- Les Lettres Francaises
- 2 Janvier 2014
- 9782841098996
Paradis Argousins est le second recueil d'un jeune poète de 20 ans, Victor Blanc, moderne et combattif. Divisé en trois chapitres qu'il présente lui-même ainsi : « un recueil de vingt poèmes (Paris Panoptique), et de deux longs poèmes (Paradis Argousins, et Chanson de Jean de La Crise) ».
On est d'emblée frappé par un rapport aux mots comme à la poésie tout à la fois amoureux et joueur. Victor Blanc plonge dans le langage à corps perdu comme dans un océan. Il brasse tous les registres de langage (vocabulaire soutenu, archaïsmes, argot, symboles informatiques.), toutes les formes d'écriture poétique (vers libres, vers comptés et rimés, rondeau, sextine détournée, tract, chanson à boire, ballade, poésie épique.). La passion joyeuse de Victor blanc pour la versi?cation et la rhétorique donne en outre à son écriture une souplesse limpide. Rien de forcé, rien de contraint mais des vers lumineux.
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Composé de portraits de femmes victimes de violences, ce nouveau recueil de Maram al-Masri est aussi un chant d'amour, de tendresse et de liberté. « Maram al-Masri écrit sur les sujets tabou - la passion physique, l'absence de foi, l'adultère, la solitude, le désespoir avec une candeur et une intensité qui la distingueraient même pour des Occidentaux. » The Times « Les histoires divergent mais les blessures se ressemblent... Celles-ci peuvent alors se laisser apparaître pour tenter de se soigner... par la caresse des mots chargés de l'émotion partagée... » Héléni Fitsili « Ses poèmes font appel à tout ce qu'il y a d'enfoui chez nous toutes. A la fois cri de douleur et cri de joie... ils font sauter les carcans de la société... » Khadija Nahar « Toutes les femmes et les hommes aussi - du monde ne peuvent que la remercier d'avoir écrit un tel livre. » Esther Barbosa
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J'ai fait voeu d'un pays Il ne monte pas bien haut Il monte seulement à la hauteur de mon coeur A la hauteur d'un chant de coq A la hauteur de la vie L'horizon ouvre ses bras Au passé qui pleure A mon présent qui ne veut pas pleurer C'est un pays-colère Où les mots ont pris le pouvoir des vagues Les ailes des mornes Et des parures de rivière C'est un pays-colère Où la lumière s'écoule d'un lit étroit.